Si tu as dans les 40/50 ans, et que tu vis une sorte de « crise de la quarantaine », en perte de sens au travail et crise de motivation. Si tu te cherches et tu te demandes comment réorienter ta vie professionnelle. Si tu te sens perdu(e), et que tu rêves d’autre chose, sans que cela te paraisse possible et réalisable, alors cet article va te parler.
La génération X (née entre 65 et 80)
Ta génération (ma génération), a été élevée avec les standards de nos parents : « les baby-boomers » (nés entre 46 et 65). Ces enfants d’après-guerre ont œuvré au rétablissement du pays et ont un goût prononcé pour le travail. Ils portent une grande importance à la carrière, intérêt qu’ils transmettront à la génération suivante, c’est-à-dire nous (la génération X, née entre 65 et 80).
Eux, ont connu les Trente glorieuses et le plein emploi. Nous, nous avons grandi avec les premières périodes de chômage, les crises financières et les plans de licenciement d’envergure pour accompagner le ralentissement de la croissance.
Période difficile pour la Génération X qui, soucieuse de garder son emploi, démontre des qualités professionnelles fortes : fidélité à l’employeur et respect de la hiérarchie, engagement professionnelle fort.
Nous avons grandi avec l’idée qu’il fallait travailler dur pour avoir un bon job et une bonne situation. Et c’est ce que nous avons fait pour la plupart. Certains, comme moi, jusqu’au burn out.
Nous avons compris, que nous pourrions profiter de la vie à notre retraite. Mais qu’en attendant, il fallait bucher et accepter les contraintes liées à la vie professionnelle. Nous avons intégré que « souffrir » pour le travail, à cause du travail, c’était normal. Parce qu’on nous a appris qu’il faut « souffrir pour mériter ».
La génération Y (née entre 80 et 2000)
Les jeunes d’aujourd’hui ont pris le contre-pied.
La génération Y (née entre 80 et 2000) veut profiter maintenant, tout de suite et ne pas attendre une retraite pour profiter (retraite à laquelle ils ne croient plus pour la plupart). Ce qui crée d’ailleurs de fortes tensions intergénérationnelles dans le cadre professionnel.
Pour eux, travail et plaisir deviennent indissociables et leur qualité de vie passe avant tout.
La génération Y (née à partir de 2000)
La génération Y (celle qui arrive prochainement sur le marché de l’emploi) est elle aussi éprise de qualité de vie, mais aussi de liberté et l’entrepreneuriat semble la voie qu’ils choisiront pour la plupart pour allier au mieux les deux.
Et nous, nous sommes la génération du milieu. La génération de transition
Entre 2 mondes. La génération de transition.
Tiraillés entre l’envie de profiter, mais l’impression que ce n’est pas possible ou « que ce n’est pas bien », « pas sérieux » et le sentiment que pour être « une bonne personne » il faut en baver. Parce que l’on nous a appris que c’est ça la vie.
Tiraillés avec ce besoin de sécurité et cette irrésistible envie de liberté et de qualité de vie.
Je suis une XYZ !
J’ai, pour ma part, totalement remis en cause ces croyances.
Même si j’ai 49 ans, je veux profiter de la vie, trouver du plaisir dans mon travail et ne pas attendre mes 67 ans pour en profiter.
J’ai quitté le salarié à 44 ans après un burn out pour me lancer dans l’entrepreneuriat. J’ai tout vendu de mes biens (mes affaires tiennent dans le coffre d’une voiture), et suis partie travailler de Bali en Indonésie à l’heure où je t’écris ces lignes.
Je suis une femme mure / mature (appelez ça comme vous voulez mais je n’arrive pas à m’appeler « senior » !), qui veut vivre comme les jeunes d’aujourd’hui !
Nos atouts
Mais j’ai, et tu as, des avantages sur eux !
L’avantage que j’ai et que tu as aussi, c’est toute cette expérience de vie. L’expérience professionnelle de ces 20 dernières années qui nous rendent légitime dans ce que l’on veut proposer en tant qu’entrepreneur.
On a aussi des moyens financiers qu’eux n’ont pas. Des économies, une maison ou un appartement, des biens qui nous assurent une certaine sécurité.
Nos freins
En réalité les freins les plus importants pour « oser profiter de sa vie », sont mentales. On ne s’y autorise pas. On a des peurs reliées à tout ce système de croyances qui nous font reculer, craindre le pire, et bien souvent, renoncer avant même d’essayer.
Moi j’ai envie que l’on soit nombreux à devenir des quinquas entrepreneurs nomades !
Des quinquas qui profitent. Qui osent. Qui se prennent en main, se bougent les fesses pour tenter autre chose, et surtout, qui veulent vivre leur meilleure vie maintenant !
Parce qu’en réalité, nous avons bien plus de ressources que ceux qui osent (les plus jeunes) se lancer dans l’entrepreneuriat sans un sou en poche et très peu d’expérience de vie et de compétences professionnelles.
Alors, tu me suis dans ma révolution des « quinquas entrepreneurs nomades » ? Laisse-moi un commentaire avec ton avis. Je serai curieuse de savoir ce que tu en penses !
Si tu cherches le projet pro qu’il te faut pour passer le cap, je peux t’y aider, alors n’hésite pas à prendre contact avec moi !
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